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Gehinnom - Sins & Pleasure

Nash Hammer alias "Cendres"

Fiche de personnage des Lilim et Lilioth

Nash Hammer alias "Cendres"

Messagede Nash Hammer » Mar 22 Mar 2011 16:46

Nash Hammer alias "Cendres"

Caractère
Le caractère fort, le cœur de pierre que rien ne touche, voilà l'homme que je désirerai être. Mais je ne le suis pas. À l'inverse, je suis mu par une passion destructrice qui m'emportera. J'ai un objectif en tête et je l'atteindrai vaille que vaille. Quand bien même ma vengeance me mènerait à la chambre à gaz, je poursuivrai prenant même par là une profonde inspiration tant je veux m’époumoner en criant leurs noms à leurs meurtriers.

En dehors de cette passion destructrice qui habite chaque fibre de mon être, je reste un meneur d'hommes, j'étais respecté et même admiré par mes soldats. Professionnellement, je ne suis plus rien. Je ne vis que pour ma vengeance et j'ai pris une vacance militaire.

Je n'ai pas toujours été ainsi. Auparavant, je ne sais pas pourquoi, mais à l'académie militaire mon sergent instructeur disait que j'avais la fibre du commandement dans le sang. Il ne parlait pas de ces colons haut gradés siégeant dans leur tour d'ivoire, mais de ces hommes et femmes qui font avancer un bataillon sous le feu ennemi, même lorsque l'objectif fixé par des stratèges politicards semble particulièrement douteux. Et il est vrai qu'aucun de mes gars ne s'est plaint sous mes ordres. Je n'étais pas un tyran les condamnant à se taire. Non, j'étais un des leurs. Ils savaient que tout ce que je leur demandai, j'étais prêt à le faire. Ça aide au combat.

On me surnomme « Cendres ». Oui les rangers ont tous un surnom dans mes unités. Tant qu'on n'en a pas, c'est qu'on ne s'est pas fait remarquer dans l'unité. Mon surnom reflète mon état d'esprit. Il vient d'une opération militaire ou je suis allé cherché un de mes hommes dans un bâtiment qui brûlaient. La fumée et surtout le ciment à l'état de poudre qui m'est tombé dessus m'a fait ressortir comme un homme recouvert de cendres. C'était même comique. Cette histoire est stupide, mais mon surnom vient de là. Néanmoins, aujourd'hui, mon âme a été consumée par Caym. Il ne reste de cette âme que des cendres. Seule la vengeance me consume totalement, il ne restera que des cendres de moi. Ce surnom m'était prédestiné finalement. Mon âme et mon caractère deviennent bel et bien comme la cendre à chaque jour qui passe.

Description physique
ImageAlors, j'ai toujours été un beau mec et j'avoue que j'en ai bien profité pendant ma jeunesse. Je n'étais pas un homme à femmes pour autant, mais j'avais un côté frimeur qui était exaspérant et que détestait d'ailleurs mon épouse. A l'époque, elle me détestait d'ailleurs pour cela. J'ai toujours pratiqué le sport intensivement. Alors, même si je suis un gros mangeur, je reste sec et très musclé. Par contre, j'ai arrêté l'excès de bodybuilding. Je ne suis plus comme sur cette photo, mais je trouve que cela me réussissait bien. Mais mon physique n'est plus à l'ordre du jour. Je ne suis plus rasé de près tous les jours et j'ai régulièrement une barbe de trois jours.

Quelques cicatrices couvrent mon corps. J'aimerai dire que ce sont des blessures de guerre. Mais je me suis rarement blessé au combat. Des égratignures, de légères brûlures, pas mal d'ampoules, car quand on est ranger, on aime la marche et les gilets pare balle pèse lourd et frotte sur le corps. Fichu ergonome, il faudrait qu'il porte mon équipement pendant une marche. Ils ont bien essayé, mais généralement, il n'arrive pas tenir debout avec cet équipement. Mes cicatrices viennent plutôt de petites conneries, comme des chutes de motos car je faisais pas mal de cross.

Je vous épargne la description de ma carte d'identité. Mais mon regard brun me donne une certaine prestance. Je souriais beaucoup, j'étais passionné dans tout ce que j'entreprenais, sauf peut-être ma vie de couple. Ce côté taciturne m'en a coûté mon mariage. J'ai tenté de rebondir après le divorce et cette gaité marque de petites rides mon sourire. Mais, ce n'est plus d'actualité aujourd'hui.


Histoire


Combien d'histoires de soldats sont tristes quand elles décrivent leur enfance ? Je ne sais pas, mais la mienne ne l'est pas. J'ai eu une enfance merveilleuse. Ma mère est tombée amoureuse d'un homme extraordinaire. Enfin, c'est ainsi qu'elle décrit mon père biologique. Ce fut le coup de foudre, mais il ne resta pas à ses côtés. Elle ne lui en veut pas, car elle savait qu'il ne resterait pas. Elle me dit qu'il l'a faite rêver et lui a offert le plus beau des enfants. Oui, ça c'est moi. Je ne suis pas prétentieux, je suis bel homme, mais aux yeux de ma mère, je suis le plus bel homme du monde. Elle a rencontré John par la suite. C'est mon père, enfin mon père adoptif. Il aime ma mère et ce sentiment qui l'anime est fabuleux. Il me considère comme son fils mais il me demande, par respect pour mon père, d'éviter de l'appeler papa. Il reste néanmoins mon père spirituel. Il n'a rien d'un grand instruit. Il n'est ni chercheur, ni ingénieur. Il est mécanicien à la base aéérienne de Nellis au Nord-Est de Las Vegas. Mon père y travaille toujours d'ailleurs pour aider aux réparations de vieux coucous. J'aimerai vous dire que c'est parce qu'il travaille sur de vieux projets Top Secret. Mais je me répète, mon enfance est tout-à-fait normal. Il est simplement expérimenté sur certains types d'appareil encore utilisé dans cette base. Ma mère travaille comme cuisinière au messe des officiers de cette même base. Elle est entrée grâce à John. Il connaissait ses dons de cuisinière et il s'est juste arrangé pour qu'elle prépare le dîner à l'occasion d'une fête chez des amis qui recevaient un colonel particulièrement gourmet. Les dons de ma mère ont fait le reste. Elle est vraiment doué et la cuisine est une passion où elle s'épanouit. Je le disais : "Une enfance simple et heureuse".

Alors, c'est en toute logique qu'après le collège, où j'étais un peu turbulent, que je suis entré dans les forces armées. Je me suis retrouvé chez les Rangers. Alors, on pourrait croire que mon père, de l'US Air Force, m'en veuille, mais il n'y a que dans les films où on voit une animosité entre Air Force, Navy et Rangers. Je me suis marié assez jeune vers l'âge de 20 ans. J'ai eu deux ans plus tard une première fille, suivi d'un fils. Je filais le parfait amour avec ma femme. Mais je partai souvent au combat, c'était difficile pour ma femme. Quand je n'étais pas en mission, nous sommes entrés dans une bête routine et un jour, elle est partie. Je l'aimais toujours, mais on ne retient pas quelqu'un qui n'a plus aucune passion pour vous. Évidemment, vu ma profession et mes longues absences, je n'ai pas eu la garde de mes enfants. Je ne l'ai d'ailleurs pas demandée. Elle est très conciliante, quand je rentre de séjour, elle me les laisse sans soucis une semaine pour que je les retrouve. Pour moi, c'est difficile, car je l'aime. J'ai tenté de la reconquérir, en vain.

Et puis, il y avait eu Bagdad et depuis j'étais différent, car on avait décidé de ne plus m'envoyer au front.

Bagdad a tout changé. Suite aux attentats du 11 septembre, je suis parti à Bagdad dès le mois d'octobre. Compte-tenu de mon expérience, on m'envoyait régulièrement sur des missions foireuses à l'époque. Pour cette mission, nous partions espionner pour prendre des photos de sites nucléaires. A part quelques camion de sondes météorologiques, je n'ai pas photographié grand chose d'ailleurs. Mon équipe me suivait bien. Je n'avais jamais eu de pertes en intervention. J'ai déjà eu de graves blessés. Le plus triste, c'est que tous ceux qui avaient été blessés le furent par des tirs fratricides. Mais c'est cela la guerre. Ce n'est ni Rambo, ni Hot Shot. Cette nouvelle mission me semblait vraiment bizarre. Elle sentait mauvais. On nous envoyait prendre des photos à l'intérieur d'un temple. Quelle connerie ! Je voyais pas comment cacher des usines d'enrichissement d'uranium dans un temple ancien. Nous sommes arrivés sur les lieux. Le temple était désert. Il n'y avait aucune trace de forces militaires adverses. Autant dire que nous savions que nous allions rentrer bredouille. Mais ce n'était peut-être pas le cas de Marie. Elle avait une mission classée « confidentielle ». Même moi, son supérieur, en ignorait la teneur. Cette femme avait une beauté angélique et semblait bien svelte pour une militaire, mais elle était d'une efficacité impressionnante sur le terrain. Ça faisait deux semaines qu'elle bossait sous mes ordres. Elle débarquait d'on ne sait où. Les gars et moi étions suspicieux. Je tentais de ne pas le montrer. Mais nous avons eu une discussion presque virile dans l'avion qui nous à larguer dans le ciel irakien. Bon ok, elle m'avait montré qu'elle pouvait me battre avec aisance en combat singulier. Je sais pas comment elle a fait pour me passer cette clef de bras aussi aisément.

Elle est entrée dans le temple et nous a demandé de rester à l'extérieur. On montait la garde tranquillement autour. Nous étions à couvert, dans une position légèrement en hauteur. Nous étions confiants. L'aviation irakienne était alors notre seul soucis, mais un Awax nous garantissait que le ciel restait d'un beau bleu. Pourtant, je suis aujourd'hui le seul survivant et l'armée m'a interdit de faire tout rapport de cette mission. Officiellement, tout le monde est mort lors d'un exercice au Texas. Franchement, c'est dégueulasse pour l'honneur de ces soldats. Je me souviens de Marie qui entrait dans le temple. Elle a demandé le silence radio. Nous attendions dehors quand j'ai entendu des coups de feu. Nous avons appelé, nous sommes entrés et nous l'avons vu se faire empaler par une autre femme qui portait une épée impressionnante. Je ne saurais dire d'où elle sortait. Marie tenait l'épée des deux mains. Je me souviens que lorsqu'elle lui a été arrachée l'épée du ventre, les doigts de Marie, crispés sur la lame, ont été tranchés nets. Elle s'est effondré au sol. Nous avons ouvert le feu sans sommation. elle était seule et pourtant, j'ai perdu tous mes hommes. Je suis un bon viseur. Jamais je n'ai pu la rater. Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais je ne l'ai jamais touchée. Je me suis planqué à essayer de comprendre pourquoi je ne parvenais pas à la toucher. Et à peine étais-je adossé au pilier du temple pour vérifier mes munitions, qu'elle était face à moi et m'avait arraché cette arme des mains. Elle a commencé à me dire que je ferai un bon esclave, que jamais elle n'avait vu « si bel humain ». Je me voyais déjà mort pour ma part. J'avais d'ailleurs le sang de Davis qui me couvrait le visage. Il avait carrément explosé à côté de moi, à tel point que j'avais le goût de son sang en bouche. Cette sensation est horrible. Elle m'a regardé et a poussé un horrible cri quand elle a vu la grenade que je tenais en main. Je ne sais toujours pas pourquoi je ne suis pas mort. Je suis pourtant certain que la grenade a pété. Et ce fut le black-out.

Je me suis réveillé dans une cage, j'étais attaché, car un peu difficile comme prisonnier. Mes geôlières m'expliquaient qu'elles avaient maté bien plus résistant que moi et que ce serait un régal de me briser. Je ne me souvenais de rien de mon arrivée. La suite est un peu compliquée et confuse. Je devais être drogué. J'ai revu cette femme, elle s'appelait Caym. Putain, j'ai dégusté quand je lui ai craché au visage. Nous étions sur un bateau, je le savais à la houle. Je ne sais pas si je me suis évadé ou si j'ai été jeté pour mort par dessus bord... Je me suis réveillé sur un bateau de plaisance. Un hélicoptère est même intervenu, enfin je crois, je l'ai peut-être rêvé. Trois jours plus tard, j'étais à l'hopital de la Timone à Marseille. J'y suis resté très peu de temps, car l'armée américaine a vite eu vent de ma présence en France. Ce pays étant contre une attaque en Irak, on m'a vite extrait de ce pays complice des terroristes.

Je me suis retrouvé quelques temps à l'écart de tout. L'état major ne devait plus avoir confiance en moi. C'est dans cette période que j'ai divorcé. Resté à la maison a du me rendre insupportable. Le plus triste, c'est que ma femme ne m'a pas quitté pour un autre. Elle m'a quitté, car elle était mieux seule. Le reste est privé. Finalement, comme les volontaires ne courraient pas les rues, je suis reparti à Bagdad. Je voulais retrouver ce temple. Mais l'état major avait du briffer mes chefs. Je n'ai jamais pu approcher. De mes dernières missions, je suis revenu en 2009. Mes enfants grandissaient, j'en profitais quand j'étais sur le sol américain. J'espérais encore conquérir mon ex-femme. Oui, je sais, je suis un peu fleur bleu. Elle n'avait pas d'hommes dans sa vie. Peut-être avait-elle eu des amants, mais elle avait la décence de ne pas m'en parler. Pour ma part, j'avais la décence de ne pas demander à mes enfants. Je sentais bien que tout n'était pas éteint. Et puis il y a eu cette nuit peu avant les attentats de Vegas. J'ai tout perdu cette matinée-là. Je me faisais draguer par une femme. Elle était sublime, une femme assez petite brune qui aurait damné un saint. Elle disait très bien me connaître. Je pensais qu'elle mentait pour me draguer. J'avais tort, elle me connaissait très bien. Je l'ai remerciée poliment et je suis parti chez ma femme, pardon mon ex-femme. Je devais récupérer mes enfants pour le week-end. J'avais prévu de les emmener chez leurs grands-parents. J'arrive un peu en retard chez ma femme à cause des bouchons. Vegas est régulièrement saturée, elle ne m'en voudra pas. D'ailleurs, cela lui arrivait régulièrement. Mais arrivé-là, je découvre la porte enfoncée. Je vois une femme à l'intérieur. Je reconnais sa robe. C'est la même robe que portait mon interlocutrice en terrasse tout à l'heure. Des robes comme cela, je n'en avais jamais vu par le passé. Alors, je m'en souviens bien. Mais la femme qui la porte n'est pas la même, elle semble plus belle, plus athlétique aussi. Et quand elle se retourne, c'est le flash ! Rien à voir avec la femme qui m'a dragué, non ! C'est la femme qui a tué Marie. Je dégaine mon arme, mais elle est déjà sur moi. Putain, je suis un Rangers et en deux secondes, je me retrouve à traverser la vitre de mon ancien salon pour rebondir sur le capot de ma Camaro. Je termine ma course sur la route et manque de me faire écraser par un camion. Je me relève aussitôt malgré les douleurs de mon corps. Bordel, elle doit faire 50 kilos toute mouillée et j'ai l'impression d'être passé sous un tank Abraham. J'entre dans la maison, elle a disparu. Je ne trouve qu'un fin morceau de tissus. Il a été découpé dans la robe de la tueuse. Dans la soie est brodé un message.

Pour m'avoir échappé et discrédité, il y a six mois...

Je ne comprends pas, car la dernière fois que j'ai vu cette femme, c'était en 2001, peu après les attentats. Il y a six mois, j'étais en Afghanistan. Je ne cherche pas longtemps. Ce qui me préoccupe, ce sont mes enfants et ma femme. Je rentre dans la maison. Je ne décrirai pas la scène. Tout ce que je peux dire c'est qu'il ne sont pas morts rapidement. Depuis j'ai changé. L'armée refuse de me croire. Pour eux, c'est l'œuvre d'un tueur en série. La police a clos l'affaire faute de preuves. J'ai même donné le morceau tissus en avouant l'avoir d'abord caché pour faire ma propre enquête. Tout ce que j'ai gagné c'est une amende d'un dollar symbolique. Compte-tenu de l'horreur du crime, le juge a été clément pour cette entrave à la justice. Mais moi, je m'en tape. Je veux retrouver cette meurtrière, je veux comprendre le rapport avec Bagdad. Elle n'a pas tué ma famille par plaisir. J'ai quitté l'armée momentanément. On m'a octroyé une pause d'un an, un congé sabbatique. J'ai vendu tous mes biens. Je ne suis vraiment pas riche d'ailleurs. Je vis au crochet de papa, maman et je passe mes journées et mes nuits à enquêter sur cette dénommée Caym. Ma vie est devenue un enfer quotidien. Je ne dors plus sans revoir les corps mutilés de ma famille. Je me réveille en criant, j'ai mis le pied dans l'alcool et j'ai eu des problèmes avec la police à cause de cela. D'ailleurs, j'ai usé mes dernières cartouches auprès du juge. Il m'a contraint à suivre une cure de désintoxication. Je ne savais pas que cela existait pour l'alcool. J'ai accepté, car c'était cela ou la prison et le retrait de permis. Je me tiens à carreau depuis la cure. Je n'ai plus touché un verre. Je mène mon enquête. C'est bizarre, mais vu ce qui c'est passé la nuit des attentats, je suis certain que Caym y est lié. La nuit là, j'ai eu des échos de démons volants, de mecs qui traversaient des flammes ou qui jetaient des boules de feu. J'enquête sur une femme qui travaille au Vénitien. Deux potes me racontent même avoir baisé avec une dizaines de gymnastes. C'est fou, mais je suis sûr que Caym est un démon au mille visages. J'ai lu des trucs sur les change-forme. Je suis sûr que c'est cela. Vous me prenez pour un fou n'est-ce pas ?

Pouvoirs innés de votre Lilim
Force, Rapidité, Endurance, Résistance aux éléments, Immortalité, Régénération, Forme véritable.

Pouvoirs personnels de votre Lilim

"Cendres" est un Lilim non éveillé. Il ne possède pas de pouvoir. Même après son éveil, il n'en possèdera pas plus. En fait, son pouvoir ou son handicap est une absence d'aura. Cela se rapproche du pouvoir de Sariel. Mais il ne peut même pas rendre visible son aura. Il n'en a pas. Est-ce une tare ? un don ? Ses frères Nephilim en décideront.
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